Faut il se priver de tout plaisir pour rester en bonne santé ?

FAUT IL SE PRIVER DE TOUT PLAISIR POUR RESTER EN BONNE SANTE ?
Extrait d’un article de Laurent Chambaud, Médecin de santé publique, juillet 2018 – The conversation France
Auteur de “La santé publique en question(s)” Les Presses de l’EHESP

 

“Le début de l’année est propice aux bonnes résolutions. En 2020, j’arrête de fumer, j’arrête de boire… Les Britanniques ont même entamé l’année avec « Janvier sec » (Dry january), une campagne invitant les participants à ne pas boire une goutte d’alcool pendant le mois suivant les fêtes.

En France, c’est toute l’année que les prescriptions venant des autorités publiques pleuvent sur les individus sous forme d’interdits ou de bons comportements à adopter impérativement s’ils sont décidés à rester en bonne santé. Il ne faut pas boire plus de dix verres d’alcool par semaine, intimaient conjointement Santé publique France et l’Institut national du cancer, l’an dernier. Moins de sucre, moins de charcuterie et plus de légumes dans notre alimentation, avait recommandé de son côté l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses).

Aussi le mot « prévention » est synonyme, dans l’esprit de beaucoup, de privation, de restriction et d’obligation.

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L’HIVER : une saison pour s’ancrer

Depuis le 21 Décembre nous sommes entrés dans la saison de l’HIVER qui nous invite à prendre le temps, à privilégier des activités calmes (lire, marcher en silence, méditer…).
Comme la nature qui réduit son activité et se met dans un état semi-léthargique, nous sommes invités à résister aux sollicitations de toutes sortes (médias, activités dynamiques, consommation…). Pour cela, une des manières de se mettre au diapason de cette saison est de s’ANCRER.

S’ancrer en mangeant…. des racines bien sûr.
Les pommes de terre : un équilibre nutritif parfait ! Contrairement à la rumeur elle contient peu de calories  car elle contient principalement de l’eau ! Des acides gras essentiels se cachent dans sa texture, accompagnés de l’amidon, ce sucre complexe qui fournit de l’énergie durant plusieurs heures. Seul impératif : la mastication est primordiale pour bien le digérer. Enfin, il est connu que son index glycémique est plus élevé lorsque vous la faites cuire sans la peau.

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ATELIER BIEN ETRE

Je vous propose un ATELIER BIEN ÊTRE avec Isabelle BERTHOLIN, astrologue spirituelle le samedi 14 Mars 2020

Cet atelier va vous permettre d’apprendre à vous connecter à votre Moi profond, à vos ressentis, aux énergies qui vous entourent.

Mais également à lâcher prise et à revenir à l’instant présent.

Votre calme intérieur est votre force afin d’être en phase avec vous-même. Il s’agit de lâcher le stress, les émotions, et les projections engendrées par votre quotidien.

Pendant 2h30 vous allez expérimenter des exercices ludiques afin de pouvoir vous les approprier.

Elle vous accompagnera également par une méditation d’auto-guérison en relation avec les énergies du moment et du groupe.

Il y aura un temps d’échange sur l’éveil spirituel à la fin de la séance autour de jeux de cartes, de thé et des petits gâteaux.

10 PLACES SEULEMENT !

Tarif : 15 E

Adresse du lieu : Brin de soi 1232 chemin d’Ardaison 69850 SAINT MARTIN EN HAUT

Pour réserver votre place merci de contacter Isabelle :

Par téléphone au 06.63.97.69.16
ou par mail à cette adresse : isabelle.bertholin@gmail.com
Pour plus d’informations : http://isabelle-bertholin.com/

D’autres dates prévues le samedi 4 Avril, le 16 mai et le 13 juin 2020. A vos agendas !

Le blason, une éloge féminine


Suite à un documentaire, j’ai pris le temps d’écouter une chanson de Georges Brassens qui eut le privilège d’être censurée. Une éloge féminine à lire ou écouter délicatement.

 

 

Ayant avec lui toujours fait bon ménage,
J’eusse aimé célébrer, sans être inconvenant,
Tendre corps féminin, ton plus bel apanage,
Que tous ceux qui l’ont vu disent hallucinant.
Ç’eût été mon ultime chant, mon chant du cygne,
Mon dernier billet doux, mon message d’adieu.
Or, malheureusement, les mots qui le désignent
Le disputent à l’exécrable, à l’odieux.
C’est la grande pitié de la langue française,
C’est son talon d’Achille et c’est son déshonneur,
De n’offrir que des mots entachés de bassesse
A cet incomparable instrument de bonheur.
Alors que tant de fleurs ont des noms poétiques,
Tendre corps féminin, c’est fort malencontreux

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